Le tract où monsieur Balland nous invite à faire connaissance et à le rencontrer le 17 janvier fait état d’un constat de 7 années passées à étudier des dossiers sans aboutissement. Je pense personnellement que cette interprétation est abusive.
Comment reprocher à ceux qui sont aux décisions d’engager des fonds communaux sans pratiquer au préalable des études de faisabilité sur les points de vue techniques, d’impact, d’utilité, financiers ? Comment reprocher des hésitations qui montrent que tout projet n’est jamais bouclé et peut être repris dans l’intérêt collectif. Peut-on reprocher une idéologie (n’ayons pas peur des mots) de développement durable et raisonnée?
Quoi qu’on en dise, les résultats se remarquent tous les jours (regardez bien autour de vous et pensez à la situation d’il y a 7 ans) dans les réalisations, rénovations, l’entretien du patrimoine réalisés depuis 7 ans.
Ce qui est plus grave à mon sens est d’engager la commune dans le projet annoncé de «reprendre une politique d’investissement» sans, comme par le passé, mesurer les conséquences pour les finances de la ville et risquer de sombrer une nouvelle fois dans une situation de faillite. Continuons plutôt à agir en responsables et comptables de l’argent public avec en point de mire une redistribution harmonieuse, équitable profitant à tous.
C’est pourquoi je fais confiance aux candidats de la liste de Jean-Christophe Poulet et en leur apportant ma contribution.
Marc Perrault
Comme le pense Philippe-W, il n’est pas souhaitable pour des artisans de proximité de se retrouver isolés de la ville, cette remarque explique peut être la désaffection de la zone actuelle qui n’a pas été mise en valeur pour cette raison.
L’idée de parcelles avec des ateliers modulables en taille construites en fonction des demandes par tranches où les artisans logent sur place répond à une demande.
L’implantation en bordure de la zone construite à usage d’habitation, desservie par un détournement de la ligne de bus et à quelques centaines de mètres de la gare la rend attractive et permet de délocaliser les garages de la RD 928 par exemple sans préjudice aux propriétaires ni aux utilisateurs. Comme il n’est pas question de grosses industries l’intégration dans l’espace paysager devrait se réaliser sans heurt et le traitement à la source des nuisances et pollutions induites sera pris en compte.
Rédigé par : Marc Perrault | lundi 04 février 2008 à 21h32
La remarque de Philippe-W est pleine de bon sens, en effet monsieur Balland, chef d’entreprise semble dans ses écrits oublier que tout n’est pas si simple.
Le cas de la critique (facile et dénigrante) généralisée ou relative à la reprise de « Leader Price » en est encore un exemple flagrant, (ré) ouvrir un commerce avec les remises en conformité et à niveau du magasin, son équipement, les interventions des entreprises n’est pas un chose aisée.
Même si la réouverture arrive plus tardivement que cela était espéré lors des premiers contacts avec la société repreneuse, l’important dans ce dossier est quand même, par la municipalité en place, s’être assuré du maintien de ce commerce de proximité, d’avoir obtenu la garantie de la distribution de produits bon marché, prodigué des conseils éclairés au personnel devant la perte des emplois.
L’accompagnement des personnes sans travail même si il a été discret a été bien réel et là encore ce n’est pas les effets d’annonce qui ont prévalus.
A ce titre toutes les explications seront données à la population et la vérité sera rétablie en réunion à la mairie le jeudi 7 février.
Rédigé par : Marc Perrault | lundi 04 février 2008 à 21h31
Bonjour
M. Balland est un chef d'entreprise. Lrosqu'il a un projet de développemet, il doit faire une étude écinomique de la faisabilité de son projet aussi bien sur un aspect technique, juridique, social et économique. Ces études ne se font pas en une semaine.
Les écrits de M. BALLAND me font peur ou c'est de la moquerie. Une collectivité territporial ne fonctionnent pas comme une société. Il y a d'autres partenaires, des réglementations, et cela prend du temps. parfois plsu d'une mandature. Il me parait normal de mener des études lors d'un mandat et la réalisation lors d'un deuxième mandat. En plus les lois de fiances ont changer et ce pour le bien des communes et de réduire l'endettement.
Un peit truc sympa, une Zone d'activité où des entreprises peuvent venir s'installer, et du personnel pouvant si rendre à pied, ou en vélo ou en transport en commun! Pas une ZA en limite de commune, où personne veut venir par manque de transport! C'est aussi ça une vision d'avenir. Sinon pourqoui certaines ZA sont à l'abandons de puis si longtemps
Rédigé par : Philippe-W | samedi 02 février 2008 à 20h18
Il serait peut-être intéressant que M BALLAND et son équipe consultent l’Echo Régional du 9 janvier dernier. Ils pourraient y constater que dans le palmarès des villes du Val d’Oise, en regard de l’endettement des communes, la situation de Bessancourt est passée d’un niveau préoccupant (2 fois la moyenne des villes de même catégorie en 1998) à une remarquable performance pour 2006 (endettement inférieur de 20% à la moyenne des villes de même catégorie) soit un qualificatif de "niveau bon" dans le palmarès. Il faut être beau joueur : c’est bien pour cette première mandature et M POULET, bravo pour la bonne gestion des finances locales.
Quand on voit le travail accompli pour votre premier exercice, difficile de part l’endettement laissé, mais aussi quand on sait qu’une seconde étape cohérente de rénovation et d’embellissement de notre ville sera poursuivie, que cette ambition sera amplifiée en tenant compte de manière lucide des moyens financiers dont la ville dispose. Quand on recherche et on écoute les aspirations de nos concitoyens, et que l’on vise à développer de manière harmonieuse et cohérente notre ville, on doit être encouragé vivement à poursuivre.
Faut-il recourir à de nouvelles pratiques calamiteuses d’emprunts dispendieux. Ces pratiques qui consistent à laisser croire que l’on peut tout faire en reprenant les recettes du passé ne sont plus acceptables pour tous. Il faut les bannir de notre paysage.
Oui, le développement doit être soutenable à Bessancourt, Oui je fais confiance à la sagesse et à l’efficacité de nos élus. Oui, je crois à leur capacité d’écoutes et d’actions responsables. Je serai fier de contribuer au renouvellement de l’équipe qui se présentera avec Jean Christophe POULET aux suffrages des BESSANCOURTOIS.
Rédigé par : Alain LEMAIRE | vendredi 18 janvier 2008 à 01h38